• the sleeping-pool

    parfois, je rêve que je vis

    ou je vis que je rêve

    je ne sais jamais où est la réalité

    je ne sais pas si je suis endormie ou éveillée

    et si toute ma vie n'était qu'un long sommeil

    peuplé de cauchemars et de rêves

    qui finirait le jour de ma mort

    je serais pour ainsi dire évaporée, un vrai néant

    qui que l'on soit,

    quand on est mort il n'y a plus rien

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  • Commentaires

    1
    Montestaure
    Vendredi 16 Décembre 2005 à 13:04
    rien
    La mort, virgule offensée...Regard insulaire.
    2
    sohdar
    Samedi 17 Décembre 2005 à 10:23
    La république ce trouve dans la mort
    J'ai passé un concours récemment où l'une desmorales était que c'est la crainte systémique de la mort qui nous faisait apprécier la vie, à condition de ne pas y penser trop souvent. Vous avez du aimer le train simplifié Matrix. Est-il bon de penser à cela à votre âge? N'est-ce-pas là une interrogation d'adolescent(e). Ce pôurrait-il que vous nous ayez tromper sur votre âge et qu'il faudrait vous enlever 10 bonnes années.
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