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Un matin, je t’ai retrouvé
Couché, près du mûrier,
Je t’ai pris dans les mains, tes paupières jaune étaient closes,
Souvent, tu t’es réchauffé, doucement, au soleil,
Immobile… dans ce petit coin de terre et de verdure
Tu savais que c’était la fin, pas nous…
Jusqu’au dernier moment, tu chantais…
ton adieu à cette Terre…
Tu nous as enchanté, par ta présence, par ta beauté
Tu dors à présent sous la terre, je sais où
La vie continue,
tu n'es pas seul...
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